mardi 24 janvier 2012

les influences d'Ottolenghi




Yotam Ottolenghi gagne en influence dans la capitale britannique. On se rappelle sa chronique conspuée dans l'observer, son restaurant douteux à Angel, et maintenant il faut soutenir l'impact de ses livres célébrés dans toute l'Angleterre. Un impact épatant, si l'on doit en croire mon repas à Hackney, dans les faubourgs révoltés de Londres. Beaucoup d'herbes, dont inconnues, et un crumble au fenouil stupéfiant. Recettes suivies à la lettre, disait notre hôte. Un livre à ajouter à ma, il est vrai, modeste, collection?

samedi 21 janvier 2012

Belfast, centre ville, Burger



Burger au gibier, très cuit... Lieu inconnu

mercredi 18 janvier 2012

Blue legume, Stoke Newington



Apparemment, les hash browns étaient plutôt réussis. Mais pour ce qui concerne les eggs Benedict, ainsi que le résuma le visiteur berlinois aux ascendances marseillaises: la sauce a l'air industrielle, le pain est un peu sec, le jambon est authentique, 6 livres, ah oui pour l'Angleterre ça va!

Blue Legume, New Church Street, Stoke Newington, London

Pizza maison

mardi 10 janvier 2012

Byron, Angel, London


Byron est une chaine de hamburger, dont on m'avait répété l'excellence, reconnue des amateurs. Au choix, le hamburger, le hamburger au fromage, le végétarien, qui est constitué non d'une pâte au soja à l'allure chair mais d'un mille feuille de légumes disposé au sein du bun, et le spécial Byron avec bacon et sauce Byron. On ajoute ensuite à la note les frites, à la française ou à l'anglo-saxonne, les couronnes d'oignon, et le vin (compter 5 livres le verre...).
A Angel, le Byron est en tables de bois la cuisine ouverte au rez de chaussée sur votre gauche en entrant, atmosphère barbecue avec tablier.

Verdict: Bien +

mercredi 4 janvier 2012

Obika, Milan




Ils auraient, comme Princi, une enseigne à Londres. Tous les plats, ou presque, sont à base de mozarella. Ici une mozarella panée et des pâtes aux épinards. Mon italien est encore un peu juste, j'avais pensé avoir commandé un ragoût de boeuf et j'ai mangé des lasagnes (à la mozarella)... Je n'ai rien contre ces lasagnes, qui étaient tout à fait comestibles, mais les cuisines familiales les font à merveille. Les vins, abordables, sont très bons. Le tiramisu était remarquable.


Verdict: Bien +

Via Mercato

Brera Milano

Van Bol, Milan






Après une courte recherche, je constate que Van Bol a bien des origines hollandaises ! Heureusement, rien de ce que j'ai pu goûter dans l'échoppe donnant sur Via Dante à Milan à deux pas du chateau Sforzeco ne ressemblait à de la cuisine hollandaise. Délicieux.

Ils ont aussi un restaurant...

Exki à Orly



Comme je pars toujours de Roissy, et que je ne vais jamais à Orly, je n'avais pas encore rencontré l'enseigne exki, "un restaurant rapide de qualité, proposant des produits naturels et frais à tout moment de la journée, dans un lieu à la décoration conviviale et reposante" (vue sur la piste d'atterrissage et nouvelles télévisées) et dont la devise est "natural, fresh & ready", ah ah, c'est exquis !
Et bien ça a l'air pas mal je dois dire, il était un peu tôt pour la soupe et le champagne, mais je vais songer à venir à Orly plus souvent.

La fermette Marbeuf, Paris



Si l'on détourne ses pas de l'odieuse avenue, on trouve une pléthore d'offres gastronomiques le long des perpendiculaires qui la segmentent. La fermette Marboeuf c'est un peu la ruralité élyséenne, décor campagnard (art nouveau) et bal musette (on y dansait sans doute autrefois et les propriétaires nous le rappellent avec une petite musique d'ambiance), service sympathique et flash à tous vents (le lieu est prisé des touristes internationaux).

Velouté de champignons sérieux, rustique
Suprême de pintade, servi comme il se doit avec du riz et une courte sauce brune goûtue

A noter: le feuilleté aux champignons (dont morilles) avait l'air délicieux; la carte présente des classiques tels le boeuf carotte que l'on se réjouit d'apercevoir ici

Verdict: Bien

La fermette Marboeuf
5 rue Marboeuf
Paris

les Puces aux Batignolles








Trois réflexions:
Je ne connais pas du tout le quartier des Batignolles, hormis à travers quelques tableaux. C'est beaucoup moins populaire que l'ouest du 17e, et truffé de restaurants.
Je devais être invité à un repas 'tout cochon', mais la présence d'un végétarien nous a égaré.

C'est un indice certainement que les Puces Batignolles rue Legendre ont une carte permettant d'héberger l'herbivore.

Le classique végétarien à Paris pour ce dernier: salade et toasts au chèvre, mais une version digne de ce nom
Brochettes de canard purée sang
Risotto maritime
pavés de veau, rosé comme l'aurait remarqué mon camarade Christophe, lentilles

Les desserts étaient fameux, aux agrumes et à la crème

Verdict: Bien +
Les puces des Batignolles,
110 rue Legendre
Paris 17e

le cheese cake de Nigel vu par ma mère



Heureusement donc, vu la taille des Christmas puddings, qu'un plan B avait été prévu, d'importation britannique également, puisqu'il s'agissait d'une recette de Nigel Slater, un gateau au fromage, sur une base de sablés écossais croustillants au beurre. L'ensemble, essentiellement composé de crème, et même en théorie de crème aigre (sour cream) malheureusement introuvable en France (la cuisinière arpenta, hormis le nouveau Marks & Spencers dont je note qu'il vend des saucisses anglaises, toutes les épiceries russes les plus prestigieuses des Champs Elysées), est enfourné pour une heure entière, avant d'être refroidi au frigidaire.

dimanche 1 janvier 2012

Résolutions


Les résolutions culinaires, longuement mûries donc, pour cette année 2012:
- passer moins de temps à cuisiner des pâtes toute la semaine
- concentrer l'effort cuisine en larges portions sur le we pour déclinaisons le long de la semaine
- axer cet effort sur la cuisine italienne
- cuisiner et manger plus de poisson (bon je ne suis pas à l'endroit idéal pour cela, mais je pars de loin...)
- entamer la rencontre avec les restaurant italiens et suisses nonobstant le coût de ces derniers

Noël: chutes 1



Les Christmas pudding, version minimale, courtoisie de Waitrose, et dont l'allumage au Laphroaig manqua de reproduire cette anecdote fameuse de l'homme qui se fit flamber avec son poulet pour les fêtes de fin d'année.