journal culinaire
dimanche 17 janvier 2010
J’ai servi la lotte à minuit précise, et personne n’en voulait. Tout le monde s’était attroupé derrière Etienne qui faisait son malin avec sa bouteille de champagne. Je suis resté digne, et j’ai mangé mon bout de lotte à l'armoricaine.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Article plus récent
Article plus ancien
Accueil
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire