Les week-ends, Jacques Revel rôde solitaire dans la ville du Nord. L’ancienne cathédrale devient rapidement l’aimant de ces promenades. Il fait la découverte du salon de thé :
« Après avoir fait le tour de l’abside sans la regarder, j’ai découvert dans une petite rue plus animée que ses voisines, éclairée de quelques vitrines de brocanteurs et de libraires d’occasion, un salon de thé classique, lambrissé de chêne sombre, tenu par des demoiselles épineuses qui m’ont servi en guise de dîner des sardines sur des toasts et des tartelettes emplies de crème rosâtre » (Butor p. 39-40)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire